La relation sainte est l’un des outils le plus important pour la transformation de notre esprit selon la psychologie d’Un cours en miracles. Ici notre perception de différences est abandonnée pour une vision d’unité et d’universalité, et toute idée de blâme et de jugement relâchée pour la connaissance de l’innocence inhérente en chacun.
Extraits:
La relation sainte est l’expression de l’instant saint en vivant dans ce monde. (T-17.V.1)
La relation sainte, qui est une étape majeure vers la perception du monde réel, est apprise. C’est l’ancienne relation non sainte, transformée et vue à nouveau. La relation sainte est un accomplissement phénoménal de l’enseignement. (T-17.V.2:1-7)
Sous tous ses aspects, comment elle commence, se développe et s’accomplit, elle représente le renversement de la relation non sainte. Sois consolé en ceci : la seule phase difficile est le début. Car là, le but de la relation est brusquement changé en l’exact opposé de ce qu’il était. (T-17.V.2:1-7)
Ta relation particulière sera un moyen de défaire la culpabilité en tous ceux qui sont bénis par ta relation sainte. Ce sera un rêve heureux, un rêve que tu partageras avec tous ceux qui se présenteront à ta vue. (T-18.II.7)
Ce n’est pas un rêve que d’aimer ton frère comme toi-même. Ta relation sainte n’est pas un rêve non plus. (T-18.V.5)
Vaincre le monde n’est pas plus difficile que de surmonter ton petit mur. Car dans le miracle de ta relation sainte, sans cette barrière, chaque miracle est contenu. Il n’y a pas d’ordre de difficulté dans les miracles, car ils sont tous les mêmes. Chacun est une douce victoire de l’attrait de l’amour sur l’attrait de la culpabilité. Comment cela peut-il manquer d’être accompli, partout où il est entrepris ? La culpabilité ne peut pas élever de réelles barrières contre lui. Et tout ce qui semble se dresser entre toi et ton frère doit tomber à cause de l’attrait auquel tu as répondu. (T-19.IV-A.5)
L’amour aussi dresserait un festin devant toi, sur une table couverte d’une nappe immaculée, dans un jardin tranquille où l’on n’entend jamais d’autres sons que des chants et de joyeux et doux murmures. C’est un festin qui rend honneur à ta relation sainte, et auquel chacun est accueilli comme un invité d’honneur. Et tous ensemble, dans un instant saint, comme ils se joignent en douceur à la table de communion, remercient Dieu pour ce repas. Et là je me joindrai à toi, comme je l’ai promis il y a longtemps et comme encore je le promets. Car dans ta nouvelle relation, je suis le bienvenu. Et où je suis le bienvenu, je suis là. (T-19.IV-A.16)